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LES CAROTTES NE SONT PAS LA POUR NOUS EMMERDER, LES CAROTTES N'ONT PAS LA VIE FACILE, ELLES DEMEURENT SILENCIEUSES DEPUIS LA NUIT DES TEMPS ALORS QU'ELLES EN ONT TRES GROS SUR LA PATATE, JE LEUR RENDS DONC ICI UN VIBRANT HOMMAGE, AVANT QU'ELLES NE SOIENT TROP CUITES, AVANT L'HIVER QUI VIENT TOUJOURS, AVANT LA FIN DES HARICOTS, KENAVO LA COMPAGNIE ET MERCI POUR LES RADIS.
C'est vrai qu'ils sont plaisants tous ces petits villages
Tous ces bourgs, ces hameaux, ces lieux-dits, ces cités
Avec leurs châteaux forts, leurs églises, leurs plages
Ils n'ont qu'un seul point faible et c'est d'être habités
Et c'est d'être habités par des gens qui regardent
Le reste avec mépris du haut de leurs remparts
La race des chauvins, des porteurs de cocardes
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
Les imbéciles heureux qui sont nés quelque part
"IL N'Y A PAS DE HONTE A PREFERER LE BONHEUR" Albert Camus
Films
Il y a des gens qui, lorsqu'ils se mettent en colère et offensent les autres, réclament tout d'abord qu'on ne leur en tienne pas rigueur, et deuxièmement qu'on ait pitié d'eux, qui sont sujets à de si violents paroxysmes. Ainsi va la prétention humaine.
Friedrich Nietzsche
1 commentaire:
C’est vrai qu’on peut copier les autres.
C’est vrai, c’est sur que c’est plus simple.
De dire toujours les mots des autres,
Même si c’est beau, même si c’est bien.
Et bien tu vois, moi j’aime moins
Que ce soit l’un, Prévert, ou l’autre,
Verlaine, c’est plus la peine, c’est sur
Car si je veux te dire je t’aime
Je te prends dans mes bras, les deux
Et je te dis je t’aime, très fort,
Tout bas je te redis je t’aime
Tout seul sans Prévert ni Verlaine
Comme un très grand garçon.
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